Cet article est à l’origine une publication LinkedIn d’Alex Naray, en date du 21 février 2023, dont voici le lien.
Un client devait CHF 400’000 à l’administration fiscale. Il a finalement obtenu un chèque de CHF 200’000. Et après, certains disent que les avocats sont trop chers.
Notre métier d’avocat fiscaliste consiste à aider les particuliers et les entreprises dans leur fiscalité. Beaucoup pensent trop vite à la seule optimisation dans le seul but de payer moins d’impôts.
Les « techniques » d’optimisations fiscales telles qu’on les connaissait dans les années 90 n’existent plus. Aujourd’hui notre métier se concentre principalement à « contrôler » si les autorités fiscales ont appliqué correctement la loi et à « préparer » le client à quel impôt il sera soumis. En cas d’erreur, ou d’une interprétation divergente de l’Administration, les conséquences fiscales peuvent être importantes.
Mais notre activité de fiscaliste va bien au-delà. Parfois, il arrive que des situations soient injustes, parce que le contribuable :
– N’a pas forcément les bases techniques pour comprendre le fonctionnement de l’impôt,
– N’a pas pris le temps de déclarer comme il le fallait ses revenus et sa fortune,
– N’a pas compris le mécanisme des déductions fiscales ou du bouclier fiscal,
– N’a pas apporté les justifications demandées par l’administration fiscale,
– Fait face à une administration fiscale fermée à la discussion.
C’est dans de telles situations que nos prestations sont essentielles. Nous faisons un travail rigoureux et méthodique pour vous aider au mieux. D’ailleurs, cette rigueur s’applique à toute notre activité au quotidien, du simple conseil aux recherches que nous devons effectuer.
Oui, les conseils d’un(e) avocat(e) sont chers. Mais ils ont pour objectif de vous aider à vous faire économiser de l’argent. Et ceci ne s’applique pas seulement aux procédures contre l’administration fiscale, mais à tous les domaines juridiques. Si vous n’allez pas jusqu’au procès, vous êtes toujours gagnant(e) !
Ne voyez pas la prestation de votre avocat(e) comme un passif mais comme un actif.